Les cookies sont des outils essentiels à l’economie numerique. Ils permettent la reconnaissance et l’identification d’un internaute pour faciliter son experience (d’achat, de connexion…)
Il permet aussi le tracking de campagne et des actions marketing plus discutables comme le ciblage comportemental et le « re-targeting ».
Voici désormais sa légitimité toute entière contestée avec l’amendement 138 du « Paquet telecom » voté au Parlement Européen. Ce vote a pour but de renforcer la protection de la vie privée et desormais le consentement de l’internaute serait obligatoire avant le dépot d’un cookie.
L’equilibre de l’économie numérique pourrait s’en trouver mis a mal. C’est certain, les internautes ont besoin de plus de confiance et de plus d’information en la matière mais ils disposent déjà de moyens de défense contre les cookies (en desactivant l’option cookie du navigateur). Mais attaquer les cookies, c’est aussi attaquer toute l’intelligence de l’experience internet.
Avec cette petite citation de Mike Arauz:
» Si je parle de votre marque à mes amis, c’est parce que j’aime mes amis et non parce que j’aime votre marque ».
– Outil bloger : comment choisir les bons termes avec SEO Blogger
Je ne sais pas s’il tourne en Francais mais cet outil vous permet de connaitre les mots clés les plus populaires pendant que vous rédigez un post. http://labs.wordtracker.com/seo-blogger/
– PR sculting et nofollow :
Quand bien même le terme de PR Sculpting est impie, voici quelques conseils en la matière que Go Referencement nous rapporte d’une conférence:
Revoir l’architecture d’information
Créer des pages d’atterrissage pertinentes
Ne pas mettre de no follow sur les liens internes, seulement sur des liens externes
Créer un mini annuaire des pages
Mettre l’accent sur les liens internes pour renforcer la structure
Utiliser robot.txt pour exclure une page de l’index
Voilà un petit moment que je n’avais pas publié d’article. En fait, je mettais quelques news de côte pour mieux les classer par thème. Voici un premier tri, orienté e-Pub:
– L’activité de la publicité en ligne a cru de 10% en grande partie grace a la croissance des liens sponsorises (+20%) dixit cet article de Neteco qui est confirmé par le rapport de TNS Media intelligence publié dans le JDNet.
A noter, le budget internet moyen représente 16% du media mix. http://www.neteco.com/286596-etude-croissance-publicite-ligne.html
– Criteo achete des espaces sur des medias externes pour les qualifier et les revendre aux annonceurs telle un offre complementaire à celle de réseaux majeurs comme Advertising/plateformeA http://publishers.criteo.com/ via NetEco
Voici qu’à l’horizon apparait la nouvelle édition du salon E-Commerce à Paris.
A vos emplois du temps en esperant de belles conférences plus riches que commerciales.
Voici une rapide retranscription de cette video en Anglais de Tim Ash proposée par Google Adwords
:
– Pourquoi s’interesser aux landing pages ?
Parce qu’elles impactent tres fortement les performances des campagnes
– Les erreurs a éviter:
* Ne pas indiquer clairement ce que doit faire ke visiteur => un « call to action » clair
* Proposer trop de choix => Categoriser, ne pas mettre de details
* Demander trop d’information => Se demander si l’info est absolument nécessaire pour faire aboutir la conversion. Quelle est la valeur que l’utilisateur va en tirer. Si elle n’est utile que pour l’equipe marketing elle pourra etre demandée plus tard.
* Trop de texte => Se focaliser sur les titres. Couper le texte en évitant de faire des phrase.
* Ne pas respecter les promesses de l’annonce => La page doit respecter le contexte de l’annonce, elle doit satisfaire les attentes qui ont généré le click.
* Eviter les distractions visuelles => Pas de photos inutiles, pas d’images qui detournent l’attention du bouton d’action.
* Manquer de crédibilité => Préciser pourquoi le client devrait vous faire confiance (afficher des logos liés a la securite du site, témoignages clients..)
Et Tim nous rappelle qu’il est facile (et gratuit) de tester l’impact de vos landings pages avec Google Optimizer. Une bonne facon de passer de la theorie à la pratique pour mesurer les améliorations.
Voilà un outil dont on parle peu mais qui a pourtant son intérêt : Google Page Speed.
A l’heure du haut débit, est il encore temps de s’intéresser à la vitesse de téléchargement des pages d’un site ?
La réponse est oui, parce que le contenu des pages s’enrichit avec le haut débit et que certains utilisateurs ne connaissent pas le haut débit..on l’oublie un peu vite!
Autre point, la vitesse de téléchargement d’une page ainsi que le « bounce rate » qu’elle induit, sont des facteurs déterminants dans la position d’un site au sein des résultats de Google et d’Adwords.
Voilà pourquoi les conseils de Google pour améliorer la vitesse d’un site comptent!
Et c’est là qu’intervient Google Page Speed.
Ce plugin Firefux s’installe simplement et gratuitement pour autant qu’il soit associé au plugin Firebug.
Il vous donnera des mesures mais aussi des conseils clés autour des CSS, du « browser caching », des javascripts…